Recherche par auteur : Ovide (0043 av. J.-C.-0017)
5 résultats.
Lu par : Elisabeth Glorot
Durée : 1h. 45min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 26406
Résumé:Contes adaptés du poème d'Ovide, pour découvrir les métamorphoses de Phaéton, Bacchus, Persée, Orphée, Midas, etc.
L'art d'aimer ; suivi de Les remèdes à l'amour ; et Les produits de beauté pour le visage de la femme
Ovide (0043 av. J.-C.-0017)
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 4h. 33min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 13490
Résumé:A l'époque d'Auguste, Ovide livre au public romain un texte audacieux, voire scandaleux. L'art d'aimer, monologue joyeusement cynique d'un expert ès stratégie amoureuse. Le poète se transforme pour l'occasion en précepteur de l'Amour, le temps d'une leçon de séduction éclatante d'esprit et d'humour. Parfois taquin, souvent docte, résolument libre, Ovide prodigue ses conseils, d'abord aux hommes, ensuite aux femmes. De la séduction aux promesses, des astuces aux pièges, mille chemins mènent à la conquête de l'être désiré. L'Art d aimer a traversé les âges sans prendre une ride, distillant son ironie et dispensant ses enseignements aux Apollons et belles Amazones qui, reconnaissants, n'ont cessé de proclamer depuis " Ovide était mon Maître ! "
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 6h. 17min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 9393
Résumé:Fils d'une famille riche de chevaliers, Ovide développe très tôt des talents d'écrivains. Après avoir entamé une carrière juridique, il se consacre à la poésie. Ses élégies, sur le thème de l'amour galant, ont un grand succès et il est rapidement adulé par l'aristocratie. Mais, accusé d'avoir rallié le culte du dieu unique de Pythagore, il est envoyé en exil à Tomes, en Roumanie. Malgré les supplications désespérées faites à l'Empereur, il y reste jusqu'à sa mort...
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 19h. 18min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 36764
Résumé:Les Métamorphoses, c’est un livre monstre par sa forme et par son projet, un poème de 15 livres qui rassemble en quelque 12 000 vers le récit de 246 fables racontant les métamorphoses des dieux et des héros, depuis le chaos originel jusqu’à la métamorphose de Jules César en étoile. C’est un texte tellement important qu’il irrigue tout un pan de l’art et de la littérature. Même si vous ne l’avez pas lu, vous en avez forcément des images ou des fragments d’histoires. Ovide pioche dans l’immense répertoire des mythologies grecques et romaines et recompose sa propre épopée pour nous raconter le monde. Ovide est un poète de l’amour, du désir et de l’orgueil, et ce qu’il nous livre est un immense roman d’aventure.
Lu par : Jean-Claude Durak
Durée : 7h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 23339
Résumé:Ovide est surtout connu pour son Art d’aimer et ses Métamorphoses. En l’an 8, pour une raison qui reste énigmatique, il déplaît à l’empereur. Tout ce que l’on sait, c’est qu’il a « vu quelque chose qu’il n’aurait pas dû voir ». Auguste lui fait grâce de la vie, mais l’exile au bout du monde connu, sur le Pont-Euxin, à l’actuelle frontière de la Roumanie et de l’Ukraine, dans le delta du Danube. Là-bas c’est le froid, la guerre, et les barbares. Plus loin, personne ne sait ce qu’il y a : des marécages, des oiseaux migrateurs... Le « bout du monde » n’est pas une vaine expression. Amoureux de sa femme, amoureux de Rome et de sa vie mondaine, Ovide se retrouve donc seul, isolé au milieu des Gètes vêtus de peaux de bête. » Le barbare, ici, c’est moi » : personne ne parle sa langue. Pendant huit ans, il écrit des lettres à Rome, recueillies en deux volumes : les Tristes, et les Pontiques. Elles mettent six mois à faire le voyage, comme la réponse, quand il y a en a. Ovide meurt dans ce « Pays du Pont, pays de galop et d’errance ». On n’a jamais retrouvé sa tombe. Restent une centaine de lettres dont existent de nombreuses traductions, mais Marie Darrieussecq a voulu essayer de leur rendre leur flux poétique, en restant fidèle au texte, mais en essayant aussi de réinventer un rythme. Ovide écrivait dans l’harmonie « iambique », ces vers latins alternés, à deux jambes. Il n’y a pas d’équivalent en poétique française, mais cette espèce de claudication, parfois à la limite de la boiterie, elle a essayé de lui trouver un équivalent dans sa langue. Cela fait deux mille ans cette année qu’Ovide a été banni…